Un congrès pour tout savoir sur le métier de serrurier-métallier
Si ceux qui y ont accès, jettent un coup d’œil à mon agenda, ils verront toutes les dates des évènements relatifs au métier de serrurier-métallier qui seront organisés au cours de l’année. Je ne pouvais donc pas passer à côté du 61ème congrès des Compagnons Serruriers métalliers du Devoir qui s’est tenu en mai dernier à l’Université Toulouse 1 Capitole. Ce rendez-vous a permis de mettre en avant toutes les orientations et les nouvelles donnes du métier de serrurier et ce qu’il faut faire pour bien former les jeunes qui l’ont choisi.
Des retrouvailles
Ce congrès a permis à d’anciens membres des compagnons et à plusieurs jeunes en formation chez cette association de se retrouver et d’échanger sur le métier. Parmi ces anciens, on trouve des dirigeants d’entreprise, très heureux de prendre part aux expositions. Les participants à cet évènement ont ensuite effectué le déplacement à Blagnac pour visiter le musée Aeroscopia. Cela a permis à plusieurs entre eux de découvrir les principales branches de l’aéronautique, un secteur très développé à Toulouse.
Des tables rondes pour en savoir plus sur la profession de serrurier-métallier
Lors de ce congrès, de nombreuses tables rondes ont été organisées sur la profession de serrurier-métallier. Les échanges ont porté sur les réalités actuelles, les évolutions et l’avenir du métier. Selon le responsable de l’organisation du congrès, Jacques Olivier, face à l’arrivée des jeunes aux parcours différents dans la profession, il est bon de leur donner de bons repères à partir d’une telle rencontre. Il poursuit en insistant sur le fait qu’il soit important d’adapter la formation proposée au profil des nouveaux venus.
On note que ce ne sont pas seulement les jeunes issus du monde rural qui s’intéressent au métier de serrurier-métallier, car ceux des zones citadines s’inscrivent de plus en plus pour des formations. Aussi, ce n’est plus un travail exclusivement réservé aux hommes. Les femmes l’apprennent et l’exercent, même s’il faut reconnaître qu’elles ne représentent que 3 % de la profession.
Merci à mon poto Michel de Neuilly de m'avoir accompagné à ce salon. On a quand même bien rigolé ! :)